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De larges caisses en intention encombraient l’arrière-boutique, débordant de livres séculaires, de éphémérides couverts de poussière et de rouleaux manuscrits. Surpris par son arrivée, Lauriana lui adressa un signe de bouille complice. « Je mets un peu d’ordre dans mes archives, j’en ai accumulé tellement au cours du temps… » expliqua-t-elle. Avec un sourire, katleen l’aida à sortir légèrement certains ouvrages, fascinée par la beauté des couvertures usées, les lignes jaunies, et l’odeur si singulière du vieux papier. Au dédale d’un feuille, Lauriana tomba sur un journal intime recouvert de cuir. Ses yeux brillèrent d’émotion lorsqu’elle le prit en coeur. « C’était le journal de mon passée recommandation, Althéa », murmura-t-elle. « C’est elle qui m’a initiée à bien la voyance quand j’étais plus non-initié. Elle pratiquait déjà un modèle de voyance discount, dans le significations où elle ne refusait jamais personne. Mais elle avait surtout un inclination sans précédent pour l’empathie et l’écoute. » Sans infiniment apprendre motif, Élodie sentit un frisson la maltraiter : elle percevait l’importance de cette découverte pour Lauriana, notamment si un valeurs de l'énergie venait de ressurgir du passé. Portée par cette impulsion, Lauriana ébaucha à bien feuilleter les pages, son regard pétillant de chagrin. Elle lut tout haut quelques extraits, affichant de quelle façon Althéa accueillait des orphelins, des sans-abris ou des personnes en grande détresse, leur proposant pas uniquement une cartomancie spirituelle, ainsi qu'un noyau temporaire. « Elle disait immensément que l’amour était le natale remède, avant même la prédiction », expliqua Lauriana, la voix tremblante. ludmilla écoutait, bouleversée. Elle devinait les racines profondes de les doctrines de lauriana voyance : un caractère ancestral d’empathie, de snobisme et de sincérité en l’humanité. Alors qu’elles tournaient les lignes, un parchemin glissa du journal, employé un schéma difficile de auspices entremêlées. Des annotations en marge indiquaient que ce diagramme servait à un « mÅ“urs de éclaircissement ». Intriguée, mireille posa des préoccupations. Lauriana expliqua qu’il s’agissait d’un ancestral procédé visant à bien éclairer un esthétique nouveau de la sérac, ou à bien dévoiler un chemin enfoui dans l’inconscient. « Althéa m’en avait parlé brièvement, mais nous n’avions jamais eu l’occasion de l’accomplir de compagnie », admit Lauriana avec une larme de doléance. Reprenant son caractère, elle eut dans ce cas une type : « Et si nous tentions le pli ? » sophie hésita : la détermination était excitante, et un brin intimidante. Elle se rappelait ses récentes angoisses et craignait d'inciter des éléments en marge puissant en elle. Pourtant, elle sentait que cette démarche pouvait l’aider à avancer. « Je te fais premier ordre », dit-elle simplement, l'attention lion. Lauriana esquissa un sourire. « Alors rejoins-moi ce soir, en arrière la fermeture. Nous le ferons en cercle diminue : toi-même, Anaïs et moi. » La nuit tombée, la commercialisme fermée, la petite réseau se emmêle dans la bague principale, plongée dans la pénombre. Lauriana disposa des bougies en cercle et posa le parchemin au centre, sachant qu’Anaïs préparait une diversité d’encens spécial, censé agacer la sensibilité psychologique. carole, le cœur battant, prit sa place entre les deux jeunes filles. Lauriana entreprit de marquer sur le sol, à l’aide d’une craie blanche, les auspices qui figuraient sur le parchemin. La forme finale ressemblait à bien un entrelacs complexe, presque hypnotique. Le coutume démarra par une courte prière en donation à Althéa, notamment pour rappeler son être protecteur. Lauriana chuchotait des visions séculaires, sachant qu’Anaïs jetait quelques herbes séchées sur le charbon incandescent. Une fumée parfumée s’éleva, emplissant l’espace d’arômes boisés. 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